I'm selfish, impatient and a little insecure. I make mistakes, I am out of control and at times hard to handle. But if you can't handle me at my worst, then you sure as hell don't deserve me at my best.
> messages : 462
> points : 0
> avatar : Blake Lively
> crédits : shiya (avatar)
> pseudo : keep smiling (alexandra)
> autres comptes : olivia rhodes
> âge : 37
♡ statut civil : Je suis actuellement totalement célibataire. Peut-être légèrement attirée par mon chef, mais je crois que je ne pourrais jamais l'avouer.
> études/métiers : Je travaille comme assistante dans un cabinet d'avocat réputé de la ville situé dans le quartier d'Allston. Plus précisément pour Ahser Whittemore, le plus grand connard de toute la planète.
> adresse : South Boston, appartement #28, 2ème étage
> à savoir sur moi : Je suis super maniaque, j'adore que chaque chose soit rangée à sa place. + J'ai une soeur jumelle, un demi-frère et une demi-soeur + Je ne supporte pas mon patron et en même temps je crois bien que j'en suis tombée sous le charme + Je regarde énormément de séries + J'adore cuisiner, essayer de nouvelles recettes c'est mon truc. + Je suis toujours très positive.
> more about me > adress book: > to do list: > disponibilité rp: libre
Lorsque ton réveil sonna, tu poussais un long soupir tout en le cherchant de ta main pour l'éteindre. Lundi matin, une nouvelle semaine qui commençait. Tu te demandais déjà ce que ton patron te réservait cette semaine comme surprise. T'avais l'espoir, au fond de toi, que les derniers événements au bureau auraient adouci un peu Asher Whittemore. Mais en même temps t'en doutais fortement. T'avais beau avoir tout prévu à l'avance et lui avoir montré que tu n'étais de loin pas une mauvaise assistante, tu sentais très bien que ce matin les choses n'auraient pas changé du tout. Tu te préparais rapidement, enfilant un chemisier et une jupe serrée. T'attachais rapidement tes cheveux en un chignon désordonné, t'enfilais tes chaussures et tu partais au travail pour retrouver ton cher patron. T'arrivais en avance sur les lieux, comme tous les matins d'ailleurs. Tu détestais être en retard et avec lui, tu ne prendrais jamais le risque de l'être un jour. Sauf en cas de réel problème en te réveillant. Tu déposais tes affaires à ton bureau, t'allumais ton ordinateur et tu te dirigeais directement vers la machine à café pour préparer ton café et celui d'Asher qui ne devrait plus tarder à présent. Tu revenais rapidement à ton bureau, déposais ton café sur ton bureau et puis tu déposais le sien sur son bureau. Au moment où tu t'apprêtais à revenir vers ton bureau pour commencer à travailler sur la pile de dossier qui t'attendais, tu l'entendis arriver. Tu n'avais plus le temps de sortir de son bureau à présent et tu t’efforças d'afficher un large sourire pour l'accueillir. Bonjour Monsieur Whittemore, vous avez passé un bon week-end ? Que tu demandes plus par politesse que par réel intérêt. Ca t'es complètement égal de savoir s'il a pu passer ou non un bon week-end. Ce qui t'importe, c'est plutôt de savoir s'il est de plutôt bonne humeur aujourd'hui ou non. Cela peut complètement changer le cours de ta journée.
Le week-end avait passé à une vitesse grand V. J’avais prévu de consacrer tout mon temps à traiter des dossiers que j’avais laissé en suspens, mais malheureusement, ma charmante femme m’avait rappelé à mon devoir. Nous étions invités à une soirée chez des amis, et je lui avais promis, il y a quelque temps en arrière, de l’accompagner. Disons que ce n’était pas l’envie qui manquait. Bien entendu, la soirée s’était éternisée et j’étais enfin à la maison aux alentours des une heure du matin. Mes dossiers m’attendaient toujours, et je décidais d’y passer un peu de temps. Certaines d’entre eux étaient assez urgent. Autant dire que je n’avais pas beaucoup vu mon lit ces derniers jours, et qu’il me faudra certainement plusieurs tasses de café pour que je ne reprenne ma bonne humeur. Je n’étais pas vraiment de mauvaise, mais si on me cherchait, on allait facilement me trouver. Après m’être réveillé aux aurores, bu ma première dose de caféine, fraîchement lavé et habillé – sans cravate pour une fois – je partis au travail, espérant que les gens allaient se tenir à l’écart. Dès mon arrivé dans les locaux, qui étaient pour la plupart encore désert à cette heure matinale, je me dirigeais directement vers mon bureau, pour y ranger ma mallette et y sortir les dossiers, avant d’aller me chercher une nouvelle tasse fumante. Un froncement de sourcil s’afficha sur mon visage que je me rendis compte que la porte de mon bureau était ouverte. Avais-je oublié de la fermer en partant ?
A peine avais-je franchi la porte, que la voix de mon assistante, Riley, s’éleva dans les airs. J’aurais dû m’en douter. Je lui avais laissé une clé en cas d’urgence, mais je ne m’attendais pas à la voir vraiment se tenir dans mon bureau, à moins que je le lui demande. D’un simple hochement de tête, je la contournais pour me placer derrière mon bureau, y déposant mes affaires, avant de fixer mon regard pénétrant dans le sien. « Bonjour Mlle Hawkins. Très bien et vous ? » C’était la moindre des politesses, et je n’avais pas spécialement envie de perdre mon temps à se raconter nos week-ends respectifs, mais la curiosité l'emporta. « Pas trop fait la fiesta avec vos imbéciles de copains ? » Oups. Je poursuivis, sur ma lancée « Au fait, que faites-vous dans mon bureau ? », demandais-je un peu trop brusquement, encore mal réveillé, avant de me rattraper de justesse, baissant le regard vers le café qui me faisait de l’œil. « Merci », murmurai-je, n’étant pas sûr qu’elle l’ait entendu. Bon. Il fallait passer aux choses sérieuses. Mon regard se posa à nouveau sur le sien. « Vous que vous êtes déjà là, aller chercher de quoi écrire. Je pense qu’une petite mise au point s’impose », dis-je en montrant d’un geste de la main les dossiers qui s’éparpillaient dans tous les sens. En attendant, je me laissais tomber dans mon fauteuil, soupirant.
AVENGEDINCHAINS
Riley Hawkins
I'm selfish, impatient and a little insecure. I make mistakes, I am out of control and at times hard to handle. But if you can't handle me at my worst, then you sure as hell don't deserve me at my best.
> messages : 462
> points : 0
> avatar : Blake Lively
> crédits : shiya (avatar)
> pseudo : keep smiling (alexandra)
> autres comptes : olivia rhodes
> âge : 37
♡ statut civil : Je suis actuellement totalement célibataire. Peut-être légèrement attirée par mon chef, mais je crois que je ne pourrais jamais l'avouer.
> études/métiers : Je travaille comme assistante dans un cabinet d'avocat réputé de la ville situé dans le quartier d'Allston. Plus précisément pour Ahser Whittemore, le plus grand connard de toute la planète.
> adresse : South Boston, appartement #28, 2ème étage
> à savoir sur moi : Je suis super maniaque, j'adore que chaque chose soit rangée à sa place. + J'ai une soeur jumelle, un demi-frère et une demi-soeur + Je ne supporte pas mon patron et en même temps je crois bien que j'en suis tombée sous le charme + Je regarde énormément de séries + J'adore cuisiner, essayer de nouvelles recettes c'est mon truc. + Je suis toujours très positive.
> more about me > adress book: > to do list: > disponibilité rp: libre
C'était rare que tu rentres dans le bureau de ton chef qui était fermé à clé lorsque celui-ci ne s'y trouvait pas. Mais t'avais la chance en tant qu'assistante de posséder le double de cette clé afin de pouvoir y pénétrer en cas d'urgence. Tu savais bien que ce matin tu y avais pénétré sans réelle urgence, mais tu imaginais bien que la tasse de café lui ferait le plus grand bien et qu'il ne t'en tiendrait pas rigueur. Tu l'espérais en tout cas. Tu n'avais pas envie de t'attirer les foudres de Monsieur Whittemore dès le matin. Ce ne serait même vraiment pas une très bonne idée. Lorsqu'il entra dans son bureau, tu t'y trouvais toujours et tu fis de ton mieux pour l'accueillir avec le plus beau sourire que tu avais en poche et tu lui demandais comment il allait. Tu n'oubliais pas les bonnes manières, jamais avec lui. Tout ce qui pouvait le mettre légèrement de bonne humeur était bon à prendre. Comme le fait de lui faire sa tasse de café avant qu'il n'arrive au travail par exemple. Très bien merci. Pas de cravate aujourd'hui ? Tu avais remarqué un léger changement de tenue aujourd'hui. Celui-ci te posa ensuite des questions sur ton week-end. T'étais étonnée, il n'avait pas pour habitude de s'intéresser à ton week-end, même pas un minimum habituellement. Le week-end était calme. Et vous comment va votre femme ? Tu demandais avec un air presque provocateur. Tu détestais sa femme, au plus haut point et tu ne cherchais pas forcément à le cacher. T'étais en fait persuadée qu'il perdait son temps avec une femme comme elle. Mais ce n'était que ton avis personnel et tu avais évité de le lui dire. Quoi qu'il en soit, tu avais la très nette impression que les choses n'allaient pas très bien entre eux, ça te faisait donc rire de lui poser quelques questions à ce sujet. Je venais vous apporter votre café tout simplement. Tu ne l'entendis pas très bien, mais tu crus comprendre qu'il venait de te dire merci. Il se chargea ensuite de vite te rappeler qu'il était temps de travailler. Il te demanda d'aller chercher de quoi écrire, ce qui ne présageait rien de bon. Tu t'empressas d'aller chercher tout cela à ton bureau et tu pris place en face de son bureau. Je vous écoute ?
Dès que je fus confortablement installé sur mon fauteuil, je bus, contre mon gré, une gorgée du café qu’elle venait de me préparer. Je devais l’avouer, elle avait eu une bonne initiative, mais ce n’était pas pour autant que j’allais la féliciter de faire correctement son travail. Elle pouvait déjà s’estimer heureuse que je ne l’avais pas virée au bout de six mois, comme les autres, et en un sens, cela voulait tout dire. J’haussais juste un sourcil quand elle me posa la question sur ma cravate et je dus me mordre les lèvres pour ne pas y aller de mon petit commentaire, du genre vous êtes aveugles ou bien ? Je secouais la tête tout simplement, essayant de me montrer le plus agréable possible, en vue de la journée qui allait s’annonce. Mieux valait ne pas se la mettre sur le dos de suite. « Non, pas aujourd’hui ». Le sujet était clos avant qu’elle ne le relance avec une autre de ses questions, cette fois-ci sur ma femme. Je grimaçais. Bordel. Tout sauf ça. Déjà que je devais la supporter, de plus en plus difficilement, à la maison, je n’avais pas encore envie d’aborder ce sujet au travail. « Elle va bien, merci de vous en inquiétez » répondis-je d’un ton sec avant de tourner court à la conversation et de lui demander d’aller chercher de quoi écrire. Attendant qu’elle revienne, je profitais pour savourer tranquillement mon café, et une fois qu’elle se posa dans une des chaises vides en face de mon bureau, je me penchais légèrement vers elle. « Bon », je me raclais la gorge. « Vous êtes à jour avec vos dossiers ? Et l’histoire concernant M. Lynley, vous avez pu récolter les informations que je vous avais demandés ? » D’un coup rapide avec la souris, j’ouvris mon agenda, pensif. Un rendez-vous me sauta aux yeux. 8h. Il était déjà 7h15. Je reportais mon attention sur mon assistance. « Changement de programme, Mlle Hawkins. C'est votre jour de chance. J’ai rendez-vous dans trois quarts d’heure au tribunal. Laissez de côté tout ce que vous avez. Vous allez m’accompagner ». Je me levai, vidai d’un trait mon café, la tasse toujours en main, et je lui fis signe de sortir. « Départ dans cinq minutes, soyez prête. Et nous prendrons ma voiture ». Je sortis de mon bureau, mallette déjà en main, déposant au passage la tasse dans l’évier. J’aurais dû mettre une cravate.
AVENGEDINCHAINS
Riley Hawkins
I'm selfish, impatient and a little insecure. I make mistakes, I am out of control and at times hard to handle. But if you can't handle me at my worst, then you sure as hell don't deserve me at my best.
> messages : 462
> points : 0
> avatar : Blake Lively
> crédits : shiya (avatar)
> pseudo : keep smiling (alexandra)
> autres comptes : olivia rhodes
> âge : 37
♡ statut civil : Je suis actuellement totalement célibataire. Peut-être légèrement attirée par mon chef, mais je crois que je ne pourrais jamais l'avouer.
> études/métiers : Je travaille comme assistante dans un cabinet d'avocat réputé de la ville situé dans le quartier d'Allston. Plus précisément pour Ahser Whittemore, le plus grand connard de toute la planète.
> adresse : South Boston, appartement #28, 2ème étage
> à savoir sur moi : Je suis super maniaque, j'adore que chaque chose soit rangée à sa place. + J'ai une soeur jumelle, un demi-frère et une demi-soeur + Je ne supporte pas mon patron et en même temps je crois bien que j'en suis tombée sous le charme + Je regarde énormément de séries + J'adore cuisiner, essayer de nouvelles recettes c'est mon truc. + Je suis toujours très positive.
> more about me > adress book: > to do list: > disponibilité rp: libre
Tu ne cessais de te demander ce que ton patron allait te préparer pour ce début de semaine. Comme toujours tu t'attendais au pire. Mais tu travailles ici depuis un bon bout de temps maintenant et tu commences à savoir comment faire pour ne pas craquer. T'as le caractère pour ça, heureusement. Sinon ça ferait bien longtemps que tu ne travaillerais plus ici, tu le sais bien ça. Supporter un caractère pareil, il faut s'accrocher. Toi t'as réussi, mais tu sais que bon nombre de personnes n'ont pas réussi à lui tenir tête avant toi. Ca te donne une certaine fierté de savoir que t'es la seule à pouvoir le supporter. Même si au fond, ton entourage ne cesse de te dire de foutre le camp d'ici tant qu'il en est encore temps. Mais tu l'aimes ton travail, même si t'as un connard de patron, tu te plais plutôt bien à cette place. T'affiches un sourire forcé lorsqu'il te répond pour sa femme. T'as presque envie de rigoler, tu vois bien qu'il n'aime pas parler d'elle. Mais tu gardes ton sérieux. Tu pars chercher de quoi écrire, comme il vient de te le demander et tu reviens t'installer dans son bureau. Il te pose une question à laquelle t'as même pas le temps de répondre. Tu t'apprêtais à le faire, évidemment. Mais t'as pas le temps, il interrompt la conversation pour t'annoncer que tu dois l'accompagner au tribunal, le rendez-vous étant dans 45 minutes. Tu ne t'y attendais absolument pas. C'était bien la première fois que tu avais la chance de pouvoir l'accompagner là-bas et tu te doutais bien qu'aucune de ses assistantes n'avaient pu le faire jusqu'à présent. Tu restes d'abord silencieuse, le temps que tu encaisses la nouvelles. Heu... Très bien... Je.. Je vais préparer mes affaires. Tu sors maladroitement de son bureau et tu prépares ton sac. T'es prête en une minute et tu t'empresses de suivre ton patron jusqu'à sa voiture. Ca te fait bizarre de devoir monter dans la voiture du grand chef d'ailleurs. C'est la première fois. C'est pour quel dossier, ce rendez-vous au tribunal ? Vous arrivez déjà vers sa voiture, t'as de la peine à rentrer dedans. T'as l'impression d'entrer dans son intimité en quelque sorte. T'es gênée.
Dès qu’elle fut prête, nous prîmes l’ascenseur qui menait au sous-sol du bâtiment, au parking, dans un silence total. Malgré le fait que c’était l’assistante qui avait eu la chance de rester le plus longtemps à mes côtés, je n’avais rien à lui dire. Quand on n’avait rien à dire, il était préférable de se taire. Mais je sentais bien qu’il y avait un léger malaise entre nous. Je ne savais tout simplement pas dire s’il venait de moi, ou d’elle. Ou les deux en même temps. C’était d’ailleurs une des premières fois que je lui demandais de me suivre, pour des affaires un peu plus complexes, et surtout au tribunal. Je voulais savoir si elle tiendrait le coup. Si elle avait du cran. Mais en même temps, sa place de travail était au bureau. Ma décision avait été prise sur un coup de tête. L’ascenseur arriva enfin – le trajet me parut durer une éternité – à sa destination, et une fois franchi les portes, je me sentis à nouveau respirer. Comme si, tout du long, j’avais retenu mon souffle. Riley à mes côtés, je zigzaguais parmi les voitures, et m’arrêtais en arrivant à la hauteur de la mienne. Une berline allemande. Nouvelle génération. Une fois installés, je pus sortir à l’air libre, me concentrant sur la route, essayant d’oublier la présence se trouvant sur le siège passager. Le rendez-vous n’était que dans une heure, et le trajet ne devait durer qu’une vingtaine de minutes, mais à Seattle, on ne savait jamais quelle tournure la journée pouvait prendre. Au bout d’environ quelques kilomètres et environ dix minutes, je dus presque planter sur les freins, lâchant un juron. Oubliant Riley. Le connard devant moi avait freiné brutalement et il avait fallu de peu pour que je l’emboutisse. Ouvrant la fenêtre, ayant besoin d’air et essayant de réguler ma respiration, je pestais intérieurement. Nous voilà au point mort. À l’arrêt. Pour passer le temps, me disant que c’était juste une question de secondes avant que tout redevienne à la normale, j’allumais la radio. « Info route : nous vous signalons que des bouchons nous ont été signalés sur la 9th avenue, des suite d’un accident entre deux voitures. Le temps d’attente est encore incertain ». Je jurai, pour de bon. Ce n’était vraiment pas le moment. J’ouvris ma fenêtre en grand, m’allumant une cigarette au passage, avant de me pencher pour ramasser ma mallette que j’avais posée à l’arrière. J’en sortis des documents que je tendis à Riley. J’avais complètement oublié de lui répondre tout à l’heure. « Vu qu’apparemment nous serons bloqués ici un certain temps, instruisez-vous. Il s’agit de l’affaire pour laquelle je suis attendu, si nous arriverons un jour au tribunal, et surtout à l'heure ». L’affaire en question s’agissait de prouver la culpabilité ou l’innocence d’un jeune homme, suspecté de viol. Pour la troisième fois, et qui avait déjà fait quelques mois derrière les barreaux. Il avait juste eu de la chance d’être un fils à papa et d’avoir un très bon avocat. J’espérais juste que Riley n’allait pas flancher. J’avais remarqué que les femmes avaient souvent tendance à perdre leur sang-froid dans ce genre de situation, surtout face à des violeurs. A la suite, j’appelais rapidement une connaissance, pour lui expliquer dans quelle situation je me trouvais. Et le malaise qui revenait. Je me trouvais bloqué, avec elle.
AVENGEDINCHAINS
Spoiler:
A la base je voulais faire le coup de la panne d'ascenseur mais j'ai opté pour autre chose
Riley Hawkins
I'm selfish, impatient and a little insecure. I make mistakes, I am out of control and at times hard to handle. But if you can't handle me at my worst, then you sure as hell don't deserve me at my best.
> messages : 462
> points : 0
> avatar : Blake Lively
> crédits : shiya (avatar)
> pseudo : keep smiling (alexandra)
> autres comptes : olivia rhodes
> âge : 37
♡ statut civil : Je suis actuellement totalement célibataire. Peut-être légèrement attirée par mon chef, mais je crois que je ne pourrais jamais l'avouer.
> études/métiers : Je travaille comme assistante dans un cabinet d'avocat réputé de la ville situé dans le quartier d'Allston. Plus précisément pour Ahser Whittemore, le plus grand connard de toute la planète.
> adresse : South Boston, appartement #28, 2ème étage
> à savoir sur moi : Je suis super maniaque, j'adore que chaque chose soit rangée à sa place. + J'ai une soeur jumelle, un demi-frère et une demi-soeur + Je ne supporte pas mon patron et en même temps je crois bien que j'en suis tombée sous le charme + Je regarde énormément de séries + J'adore cuisiner, essayer de nouvelles recettes c'est mon truc. + Je suis toujours très positive.
> more about me > adress book: > to do list: > disponibilité rp: libre
Le trajet pour aller au tribunal te semble super long et interminable. Asher ne semble même pas prendre la peine de répondre à ta question. Il a démarré la voiture et vous avancé dans les rues de Boston. Tu ne prononces plus le moindre mot. Tu ne sais pas vraiment quoi lui dire à lui en même temps. T'es gênée, t'as l'impression de ne pas être à ta place. Et tu ne sais pas du tout à quoi t'attendre au tribunal. Ce n'est pas ton rôle normalement, t'en es parfaitement consciente. Tu ne sais donc pas vraiment ce qu'il va se passer, ce que tu devras faire. T'as peur de ne pas être à la hauteur et qu'il utilise ça pour te virer. T'espère vraiment pas que c'est ce qu'il fera. T'essayes de te faire discrète dans la voiture, tu regardes par la fenêtre la ville qui défile sous tes yeux. Et puis vous vous arrêtez, un peu trop brusquement. Heureusement, t'attaches toujours ta ceinture, t'aurais eu le nez écrasé contre le pare-brise sinon. Les bouchons. Vous avez tout gagné. La radio annonce un accident sur la rue où vous êtes. Vous risquez d'en avoir pour un petit moment. Et puis t'es surprise lorsqu'il te tend des documents sur l'affaire du tribunal. Il parle enfin. Les premiers mots prononcés dans cette voiture et c'est pour parler de l'affaire. T'ouvres le dossier, sans broncher. Et tu commences à lire, gentiment. C'est pas une affaire anodine. Une histoire de viol. T'aimes pas tellement ça. Tu grimaces un peu en lisant certaines phrases, certains témoignages. Mais tu gardes la tête froide. Tu ne veux pas montrer de signe de faiblesse. Il était au téléphone pendant que tu lisais. Tu refermais ensuite le dossier et tu levais ton regard vers lui. Et il est innocent vous pensez ? Toi tu crois pas trop à son innocence, mais peut-être que tu te trompais complètement. Ce n'est pas évident comme affaire tout de même. Mais intéressant à traiter, j'imagine. T'essayes un peu de faire la conversation parce que ça te rend mal à l'aise de rester silencieuse seule avec lui dans cette voiture. T'as l'impression qu'il est beaucoup trop prêt de toi. Tu regrettais le choix de la jupe serrée qui avait tendance à remonter un peu quand tu te trouvais assise dans une voiture. T'essayais de la remettre en place discrètement.
Le malaise qui avait régné dans l’habitacle de la voiture prenait de plus en plus de place, me demandant même si c’était une bonne idée de la faire venir avec moi au tribunal. La réponse était oui, bien sûr. Je n’avais juste pas pensé que je me retrouverais bloqué avec elle, dans cet espace confiné. Le temps tournait au ralenti, les secondes me parurent durer une éternité, et la voiture était toujours au point port. Je soupirais, regardant les alentours, une main pendant en dehors de la vitre, que j’avais baissée pour faire entrer un peu d’air. J’avais l’impression d’y étouffer. Heureusement que ce n’était que le matin, et non pas en fin de journée, ou les températures grimpaient en flèche. Je la laissais lire en silence, pendant qu’elle s’imprégnait du dossier. Qu’elle en prenait connaissance, en attendant qu’elle fasse un commentaire. Ce qui ne tarda pas. J’haussais les épaules à sa question, me tournant vers elle, détachant ma ceinture qui m’étranglait le cou. « Ce n’est pas à nous de décider si oui ou non il est innocent. On doit toujours être impartial. Ne jamais émettre un jugement. Jusqu’à preuve du contraire, il l’est ». Je m’interrompis un instant, regardant droit devant moi, dans le vague, avant de la regarder à nouveau. « Mais oui, il ne fait aucun que, selon moi, il est plus que coupable. Ce genre de type ne s’arrêtera jamais, tant que la société le libérera, ou sera laxiste, comme elle l’a déjà fait, il continuera à s’adonner à ses plaisirs pervers. Ça ne fait aucun doute. C’est pour cette raison que je dois tout faire, cette fois-ci, pour qu’il reste enfermé à vie. Chose que mon prédécesseur n’a pas réussi à faire ». Je secouais la tête, à l’idée qu’il avait pu obtenir très rapidement une libération conditionnelle, pour bonne conduite. « Le point positif, si y en a un, c’est qu’il a bafoué ses conditions de liberté. S’il n’était pas accusé de viol, il irait derrière les barreaux de toute façon ». Je me tus, cette fois-ci pour de bon. Parler de boulot ne me dérangeait guère, il y avait toujours quelque chose à dire, mais avec elle c’était différent. Alors parler tout court, de la pluie et du beau temps, c’était une autre paire de manches. Je me mis, nerveusement, à tapoter mes doigts sur le volant, essayant de contenir ma rage. Je détestais ne pas avoir le contrôle de la situation, et le fait d’être cloué sur place, m’énervait au plus haut point, surtout quand on savait que tout reposait, ou presque, sur ma présence au tribunal. « Et vous, vous en pensez quoi ? » J’étais curieux de connaître son avis. D’une jeune assistante, qui avait à peine lu un dossier, sans réellement connaître le personnage. J’essayais de garder mon regard rivé sur le sien, déboutonnant le premier bouton de ma chemise, à cause de la chaleur, d’un geste machinal, tambourinant toujours mes doigts sur le volant, les gardant le plus éloigné possible de la jeune femme.
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Asher Whittemore le Dim 18 Sep - 3:26, édité 1 fois
Riley Hawkins
I'm selfish, impatient and a little insecure. I make mistakes, I am out of control and at times hard to handle. But if you can't handle me at my worst, then you sure as hell don't deserve me at my best.
> messages : 462
> points : 0
> avatar : Blake Lively
> crédits : shiya (avatar)
> pseudo : keep smiling (alexandra)
> autres comptes : olivia rhodes
> âge : 37
♡ statut civil : Je suis actuellement totalement célibataire. Peut-être légèrement attirée par mon chef, mais je crois que je ne pourrais jamais l'avouer.
> études/métiers : Je travaille comme assistante dans un cabinet d'avocat réputé de la ville situé dans le quartier d'Allston. Plus précisément pour Ahser Whittemore, le plus grand connard de toute la planète.
> adresse : South Boston, appartement #28, 2ème étage
> à savoir sur moi : Je suis super maniaque, j'adore que chaque chose soit rangée à sa place. + J'ai une soeur jumelle, un demi-frère et une demi-soeur + Je ne supporte pas mon patron et en même temps je crois bien que j'en suis tombée sous le charme + Je regarde énormément de séries + J'adore cuisiner, essayer de nouvelles recettes c'est mon truc. + Je suis toujours très positive.
> more about me > adress book: > to do list: > disponibilité rp: libre
Vous parlez du boulot, de ce fameux cas que vous allez devoir traiter une fois que vous serez arrivé au tribunal. Si vous y arrivez un jour, bien évidemment. T'es curieuse d'en savoir plus sur cette histoire et tu avais regardé le dossier attentivement, mais comme tu n'avais pas pu traiter la totalité du dossier, tu n'étais pas sûre d'avoir tous les éléments pour te faire une idée. Alors tu avais cherché à savoir s'il était innocent ou non. Parler de l'affaire et du boulot, c'était plus facile pour toi. Ca te soulage un peu, tu te sentais légèrement plus à l'aise, bien que tu sois encore pour le moins gênée par la situation. T'avais pas l'habitude de te retrouver dans un espace aussi petit en compagnie de ton patron. Tu commençais à avoir chaud, tu te concentrais sur les autres voitures qui vous entouraient plus qu'autre chose. Mais c'était difficile. Tu ne l'avais avoué qu'une seule fois qu'Asher Whittemore est canon et c'était bien avant de connaître vraiment ton patron. Mais à présent que tu te retrouvais aussi proche de lui, tu devais bien avouer que parfois il avait tendance à ne pas te laisser totalement indifférente. Pourtant, tu le hais. Au plus haut point. Tu fixes ton regard droit devant toi, tout en l'écoutant te parler de ce cas. Et puis il te demande ton avis. Ca n'arrivait pas souvent, t'étais surprise sur le moment, mais tu t'empresses de répondre. Je pense aussi qu'il soit coupable. A mon avis, des connards pareils peuvent rester croupir en prison pour l'éternité. Tu ne supportais pas ces histoires de viol, tu ne supportais pas que la justice les laisse encore rester en liberté. Beaucoup trop longtemps parfois. Tu ne comprenais pas, mais en même temps tu ne pouvais pas y faire grand chose. Sauf aujourd'hui, tu te réjouissais déjà de voir Asher remettre cet homme derrière les barreaux. J'espère tout de même qu'il retournera derrière les barreaux pour le véritable crime qu'il a commis. Tu risquais un regard vers ton patron et t'affichais même un mince sourire. Discuter avec lui, de cette façon, c'était presque agréable. Finalement, quand vous n'êtes pas dans votre bureau à chercher à me rendre folle, vous pourriez presque être sympathique. T'avais pas pu t'en empêcher. Tu tournais la tête à nouveau, observant la circulation. T'avais vu qu'il avait déboutonné un bouton de sa chemise, tu rêvais d'en faire autant. Tu mourrais de chaud. Mais ce ne serait pas tellement recommandé. Ton décolleté était déjà bien assez présent comme ça sans en rajouter. Tu refermais le dossier et tu l'utilisais comme éventail. Je meurs de chaud.
Les minutes s'égrènent mais rien ne bouge. Point mort. Je peste intérieurement et je me retrouve coincé avec mon assistante. Je n’oserais jamais me l’avouer, et encore moins à elle, mais je m’étais attaché à elle. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je l’appréciais. Elle faisait correctement son travail, malgré mes hautes exigences, toujours avec le sourire, du moins quand j’étais présent, et surtout, elle savait me tenir tête. Indéniablement, elle n’était pas comme les autres. Elle savait ce qu’elle voulait. Mais le pire, et ça, je me l’avouerais encore moins, même si je savais que ça m’affectait plus de ce que je pensais, elle était attirante. Très même. Et me retrouver seul à seule avec elle, dans cet espace restreint, devenait juste insupportable. J’avais besoin de sortir, de prendre l’air, malgré la vitre ouverte, de m’éloigner. C’était une des raisons pour laquelle j’avais abordé le sujet de l’affaire. La discussion restait professionnelle, et loin de tout dérapage. Je l’écoutais me donner son avis sur l’affaire, qui était quasiment identique au bien. C’était le côté négatif, de mon métier, de rester neutre. De ne jamais croire sur parole les témoins, ni ses clients. Jusqu’au bout. Mais dans certains cas, comme celui-ci, ou toutes les preuves pointaient dans sa direction, ce n’était pas évident. Voilà pourquoi j’avais préféré me mettre du côté de la partie civile, et non pas de la défense. Je ne savais pas comment les autres avocats pouvaient accepter de devoir défendre, bec et ongles, des crapules sans nom.
« J’espère tout de même qu’il retourne derrière les barreaux pour le véritable crime qu’il a commis ». Je souris. A la naïveté. La jeunesse. Je me tournais vers elle. « Ne vous bercez pas trop d’illusions, ma petite. Tout n’est pas rose dans ce monde, vous l’apprendrez assez vite. Je parle par expérience. J’ai déjà eu à faire avec lui, et … comme vous le voyez, il est libre » Je ne voulais pas forcement briser ses idéaux, mais il le fallait, pour la confronter à la dure réalité. « Vous savez, j’ai beau être un très bon avocat, quand on est fils à papa, on se croit tout permis, et des fois, il suffit juste de quelques pots de vin sous la table, passés discrètement, et le tour est joué. Nous ne pouvons plus rien faire ». Je soupirais. La partie s’annonçait ardue. « Espérant que cette fois-ci le juge ne se fera pas corrompre ». Je tournais de nouveau la tête, regardant dehors, un court instant. Une envie de fumer s’était fait sentir, mais je ne voulais aucunement empester l’habitacle de tabac. Pas en sa présence. « Finalement, quand vous n’êtes pas dans votre bureau à chercher à me rendre folle, vous pourriez presque être sympathique ». De nouveau, je souris. Sa remarque me touchant profondément. Je regardais à présent droit devant moi. « Presque ». Je n’avais rien trouvé d’autre à répondre, aucune pique, rien.
« Je crève de chaud ». C’était le cas de le dire. Vive Boston. Je regardais furtivement sa tenue, avant de fermer la fenêtre. Quel idiot j’avais été ! Je tripotais quelques boutons, la climatisation se mettant en marche. « Ça devrait aller mieux à présent. Et maintenant que j’y pense, la prochaine fois, si cela devait se reproduire, évitez de vous habiller de cette manière pour aller au tribunal. Ce n’est pas en montrant vos fesses aux jurés qu’ils vont être dupés. Simple petit conseil ». Et que cela risquait aussi de me déconcentrer. Sympathique ? M’ouais. « Vous disiez ? » Je m’étais juste laissé aller, quelques instants, avant de redevenir moi-même. Les voitures devant nous avancèrent au pas, et je fis de même. Enfin. Bon, nous n’étions pas encore arrivés, mais au moins, ça avançait. A ce rythme, nous serions au tribunal pour 21h. Tout en conduisant d’une seule main, je me penchais légèrement vers elle, essayant de prendre une bouteille d’eau qui était coincé entre nous deux. Ce qui eut pour effet l’effleurement de ma main contre sa cuisse. En moins de deux, je l’avais retirée. Comme si j’avais reçu une secousse électrique, ou qu’elle me brûlait littéralement. Je la poussais aussi sur mon volant, essayant de me concentrer totalement sur la route, et non pas sur mon assistante.
AVENGEDINCHAINS
Riley Hawkins
I'm selfish, impatient and a little insecure. I make mistakes, I am out of control and at times hard to handle. But if you can't handle me at my worst, then you sure as hell don't deserve me at my best.
> messages : 462
> points : 0
> avatar : Blake Lively
> crédits : shiya (avatar)
> pseudo : keep smiling (alexandra)
> autres comptes : olivia rhodes
> âge : 37
♡ statut civil : Je suis actuellement totalement célibataire. Peut-être légèrement attirée par mon chef, mais je crois que je ne pourrais jamais l'avouer.
> études/métiers : Je travaille comme assistante dans un cabinet d'avocat réputé de la ville situé dans le quartier d'Allston. Plus précisément pour Ahser Whittemore, le plus grand connard de toute la planète.
> adresse : South Boston, appartement #28, 2ème étage
> à savoir sur moi : Je suis super maniaque, j'adore que chaque chose soit rangée à sa place. + J'ai une soeur jumelle, un demi-frère et une demi-soeur + Je ne supporte pas mon patron et en même temps je crois bien que j'en suis tombée sous le charme + Je regarde énormément de séries + J'adore cuisiner, essayer de nouvelles recettes c'est mon truc. + Je suis toujours très positive.
> more about me > adress book: > to do list: > disponibilité rp: libre
A présent que tu étais au courant de l’affaire qui allait être traitée aujourd’hui au Tribunal, tu commençais à être impatiente d’y arriver. Pourtant tu voyais bien que c’était encore loin d’être gagné au vu de la vitesse à laquelle les voitures avançaient devant eux. Tu te demandais même si vous alliez pouvoir vous sortir de ce trafic un jour ou l’autre. Tu croisais les doigts bien évidemment et pour passer le temps vous discutiez justement tous les deux de cette affaire. Comme tu t’en étais doutée, le coupable avait usé de quelques pots de vin pour se sortir de cette histoire. Le genre d’informations que tu détestais entendre. Tu te doutais bien que souvent les choses se passaient comme ça lorsqu’il s’agissait d’un fils à papa comme venait de le dire Asher. Mais tu trouvais ça triste, décevant, injuste. Cependant, tu ne pourrais pas changer les choses. Tu espérais qu’Asher y parviendrait aujourd’hui. Ce mec ne méritait certainement pas autres choses que de finir derrière des barreaux. Oui espérons comme vous dites. Mais je vous fais confiance pour réussir un coup de maître. C’est tout ce que cet homme mérite, la prison, ou pire… T’étais peut-être un peu trop remontée contre ce cas, mais tu ne pouvais pas t’en empêcher. En plus, cela te faisait du bien de parler de ce cas avec Asher. Cela te permettait d’éviter de trop penser au fait que tu trouvais dans un espace très restreint en sa présence, que tu commençais à avoir de plus en plus chaud et à le regarder un peu trop souvent du coin de l’œil. C’était difficile de travailler avec un patron aussi canon qu’Asher Whittemore. Son côté sadique t’aidait à le détester, mais à cet instant précis, tu le trouvais presque sympathique. Comme tu venais de le lui faire remarquer. Un sourire s’étira sur tes lèvres lorsqu’il répéta le mot « presque », tu n’étais pas encore prête à reconnaître qu’il est sympathique, tout simplement. Tu venais déjà de faire un effort en lui faisant ce genre de compliments, il ne fallait pas trop pousser non plus. Tu fis ensuite remarquer que tu avais affreusement chaud et Asher referma la fenêtre tout en mettant la climatisation. Il te fit ensuite une remarque sur ta tenue qui te surpris. Tu arquais un sourcil tout en tournant doucement ton regard vers lui. Pour ma défense je ne pouvais deviner qu’aujourd’hui j’irais au tribunal avec vous et je me trompe peut-être mais il me semble que c’est vous qui avez exigé ce genre de tenue pour votre assistante. Bon tu devais avouer que la jupe était peut-être un peu courte aujourd’hui, mais tu restais persuadée qu’Asher Whittemore t’avait demandé dès tes débuts dans cette entreprise de porter plutôt des jupes. J’ai d’ailleurs toujours pensé que c’était votre petit côté pervers qui voulait ça. Tu le regarda quelques secondes, tu voulais voir sa réaction face à ta dernière remarque et puis tu reportais ton regard sur la route. Tu ne vis pas tout de suite qu’Asher avait avancé sa main vers toi pour faire je ne sais quoi. Prendre quelque chose, sans doute. Tu sentis soudainement le contact entre ta cuisse et sa main. Un contact qui ne dura qu’une fraction de seconde. Tu te sentis rougir, sans pouvoir le contrôler. Mais tu ne disais rien, tu ne savais pas quoi dire. Cependant, tu remarquais qu’il semblait perturber. Tu te décidais à arborer un autre sujet. Vous obligez aussi votre femme à ne porter que des jupes ?