ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas
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Winter Carlson
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> avatar : jennifer morrison, la femme qui vend du rêve et qui est parfaite.
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♡ statut civil : célibataire. Tu n'as pas réellement eu de petit ami depuis longtemps, juste des relations qui ne mène à rien alors au lieu de t'emmerder avec un mec, tu préfères passer ton temps au boulot, ça t'évite de trop penser.
> études/métiers : tu travailles en tant que flic. Le fait qu'on t'a fait du mal sert à vouloir pourrir les autres ordures qui sont dehors. Tu veux sauver les gens même si toi tu ne l'as pas été
> à savoir sur moi : tu fais le ménage trois fois par semaine +, tu as adopté un chien et un chat qui s'entende à merveille +, tu es allergique à la tomate, au basilic et au menteur +, tu adores cuisiner, tu pourrais y passer tes journées +, tu ne sors plus jamais sans ton arme de service, c'est devenu ta défense personnelle +, tu fais les courses que le soir, il y a moins de monde + avant que tu manges, tu jettes du sel au-dessus de ton épaule droite, il paraît que ça porte bonheur +, tu te lave toujours avant de descendre boire ton café, tu aimes être propre pour le petit-déjeuner +, tu fais sonner ton réveil vingt minutes avant, le temps d'émerger +, tu aimerais avoir des ailes alors ton film préféré est Peter Pan, lui au moins vole et ne grandit pas +, tu es accroc à ton cellulaire, il te quitterait pour rien au monde +, tu n'aimes pas les légumes, mais tu en manges quand même pour te forcer +, tu rêves d'être maman + tu fais craquer tout tes muscles avant de te coucher +, tu as des pantoufles licornes + tu prends toujours le même shampoing, depuis ton adolescence, tu n'as pas changé
Sujet: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Mer 24 Aoû - 10:04
01h11. C'est ce que t'affichait ton cellulaire quand tu quittais le commissariat, tu avais passé une journée de merde et tout ce que tu voulais, c'est rentrer chez toi te reposer, manger et continuer de bosser. Un certain dossier te prend la tête et tu ne sais pas quoi faire, maltraitance sur un enfant, c'est grave, mais quand tu n'as pas de preuve, c'est la grosse merde. Alors que tu commandes à manger, tu regardes de nouveau ton cellulaire par habitude avant de le ranger dans ton sac. Tu attrapes d'une poignet de main le sachet avec tes sandwichs et tu prends la route jusqu'à chez-toi, mais en passant devant un bar, tu remarques qu'il y a Asher, pas dans un bon état en plus. Tu soupires avant de te garer juste devant et de sortir.
Tu avances vers lui avant de t'apercevoir qu'il est ivre mort, tu ne peux t'empêcher de souffler, il poussait mamie dans les orties-là. « Il est parti ou modération ? ». Lâches-tu en disant au serveur que tu partais avec lui. Heureusement, il savait encore marcher, plus très droit certes, mais il ferait avec jusqu'à ce que tu le dépose. « Asher, t'abuse quand même ». Ajoutes-tu tandis que tu roulais vers chez lui, la nuit allait être longue, très longue. Arrivée à destination, tu t'empresses de le sortir lui et tes sandwichs et de rentrer chez lui, sa femme n'était pas là, heureusement. Tu le jettes dans le canapé avant de faire du café noir pour lui faire passer sa gueule de bois.
♡ statut civil : La bague au doigt, la corde au cou. Le temps qui passe, l'amour qui décline. Mais le cœur qui revit. L'attirance pour une autre.
> études/métiers : Avocat, spécialisé dans les affaires pénales.
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Mer 24 Aoû - 19:42
Celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas
Winter &Asher
Les heures défilaient, les unes après les autres, au rythme des verres vides qui jonchaient le comptoir du bar. Tenant mon énième whisky en main, le regard dans le vide, je me demandais qu’est-ce qu’il m’avait bien pris de venir m’arrêter ici à la sortie du travail. Je connaissais la raison, en partie, mais le but n’avait pas été de m’éterniser. Ni de finir dans cet état lamentable. Heureusement qu’il n’y avait personne de mon entourage pour voir quel être pitoyable je faisais, et surtout pas Riley, mon assistante. 1h30. Le temps de rentre, d’aller se glisser sous des draps propres. Pas la force. Ni la volonté. Une voix, lointaine, se faufila dans mes oreilles. Impossible de répondre, je n’étais plus maître de moi-même. Je levais le regard, et reconnus Winter, floue. Elle posa sa main sur mon épaule, et m’aida à me lever, et m’entraîna dehors, dans sa voiture. Les seuls mots qui sortaient de ma bouche, pour essayer de protester, en vain, furent plus des grognements qu’autre chose.
A peine arrivé dans mon loft, elle disparut de mon champ de vision. J’en profitais pour me faire la balle, et, n’ayant pas le courage de monter au deuxième étage, je me dirigeais vers les toilettes. J’avais besoin de me rafraîchir les idées. Crevant de chaud, ayant l’impression d’avoir les habits scotchés à ma peau, je défis ma cravate, que je jetais par terre à la va-vite, avant que ma chemise ne la rejoigne. J’hésitais un instant, avant de me dire que le pantalon, lui, j’irais le changer plus tard. Je me passais de l’eau dans les cheveux, sur tout le visage. Il fallait que je redevienne lucide. Que je comprenne qu’est-ce qui m’avait poussé à finir comme ça. Et dire que je ne m’en croyais plus capable ! Les cheveux dégoulinants, ne ressemblant plus à rien, j’ouvris l’armoire à pharmacie et j’en sortis un antidouleur, que j’avalais rapidement. Ensuite, je retournais dans la pièce principale, et ne voyant toujours pas ma sauveteuse, je suivis l’odeur de café qui emplissait la pièce. Franchissant la cuisine, un haut le cœur se fit sentir, et je posais une main devant la bouche. Il ne fallait surtout pas que je vomisse. Je me formais une certaine contenance, m’approchant d’elle, comme si la situation était tout autre. Je me posais contre les plans de cuisine, à ses côtés. « Si tu voulais à ce point visiter mon appartement, tu pouvais tout simplement me le dire, tu sais ? » lui dis-je, suivit d’un clin d’œil. C’était un exploit qu’une phrase entière, sans faute, sorte de ma bouche. Je baissais ensuite la tête, regardant mes pieds, choses que je faisais rarement, et je murmurais un simple « merci ». Je n’étais même pas sûr qu’elle l’ait entendu.
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Winter Carlson
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Jeu 25 Aoû - 16:49
Toi qui rêvais d'être devant ta télé avec tes sandwich, tu allais devoir t'occuper d'un ami ivre mort, désormais, tu seras garde-bourré. Tandis que tu entendais Asher promenait chez lui, toi tu fouillais dans les placards à la recherche du café, ce grain magique qui t'aide à reprendre des force, à pas t'endormir et à diminuer la gueule de bois. Café en main, tu t'empressais de mettre la cafetière en route avant de faire claquer tes ongles sur le plan de travail, heureusement que sa femme n'était pas là. « Si tu voulais à ce point visiter mon appartement, tu pouvais tout simplement me le dire, tu sais ? ». Tu ris ironiquement, en fait tu avais envie de rire, mais tu devais garder ton sérieux, ne serait-ce qu'un minimum. « Si tu voulais foutre ma soirée en l'air, c'est gagné ». Tu le regardes, celui-ci se mit à regarder ces chaussures, oui elles sont belles Asher, jusqu'à ce que tu entendes un mot suspect. « Merci ». Tu fais les gros yeux avant de zoomer sur lui, venait-il de te dire merci ? Tu fais semblant de chercher un autre Asher. « Oh, être bourré te réussit toi ». Tu ris, cette fois c'est de tout coeur, tu savais comment il était, enfin avec les autres car avec toi, il n'y a pas de problème, mais quand il connaissait pas, il avait tendance à être arrogant, froid alors qu'en réalité, ce n'était qu'une carapace et tu l'avais découvers. « Heureusement que tu n'as pas vomis dans ma voiture sinon, tu aurais tout nettoyer .. Avec ta langue ». Lâches-tu en lui donnant sa tasse à café, tu prends la tienne et t'installe sur une chaise de la cuisine. « Allez Asher, pourquoi tu es dans cet état ? ». Tu faisais tourner la tasse entre tes mains en insistant sur son regard ! Tu n'allais pas me juger, juste tu voulais comprendre ce qu'il s'est passé dans sa tête ce soir
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Jeu 25 Aoû - 21:32
Celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas
Winter &Asher
Me tenant ferment à ses côtés, je me concentrais sur tout et n’importe quoi. Il ne fallait pas que l’odeur de café fasse son odeur. Déjà que ma fierté en prenait un coup d’être vu dans cet état, mais si on plus je vomissais tripes et boyaux, je pouvais dire au revoir à mon image. Je tournais mon visage vers elle, c’était la moindre que je puisse faire. « Personne ne t’as demandé de me ramasser à la petite cuillère tu sais. Je crois que je suis assez grand pour me démerder. Et ce n’est certainement pas la première fois que je finis dans cet état ». Certes, mais c’était plutôt dans la vingtaine, ou ma vie était encore différente à l’époque. Depuis, je m’étais fait vieux, et la récupération était une autre paire de manches. Un sourire se dessina sur mes lèvres, malgré le fait que je me sentais honteux. C’était vrai que quiconque me connaissait un tant soit peu, savait pertinemment quel genre d’homme j’avais et quel caractère de merde je traînais derrière moi. M’excuser ? Très peu. Je me forçais à redevenir sérieux, lui lançant un regard noir. « Silence, femme », avant de poursuivre, le plus naturellement du monde. « Il vient mon café ou il faut aller le chercher en Equateur ? » Sentant mes jambes me lâcher petit à petit, je décidais d’aller m’asseoir, me tournant face à elle, pour ne pas la perdre de vue, prenant mon temps pour détailler son corps de A à Z. Il faut bien l’avouer, elle n’était pas mal du tout, mais … Je chassais la suite de mes idées d’un revers de la main. Mieux valait ne pas y penser. Je pris la tasse qu’elle me tendit, la regardant d’un air malicieux. « Hum … je suis sûr que tu aurais préféré que je nettoie autre chose, avec ma langue ». Ok, tais-toi Ash. Tu t’enfonces. Je clouais mon bec, plongeant mes lèvres dans le breuvage brûlant, avant de la retirer vivement et de la reposer. J’allais attendre que le café refroidisse. Sa question suivante, même si elle était prévisible comme le nez au milieu de la figure, ma fit tressaillir. J’haussais les épaules. « Il n’y a aucune raison. Ce sont des choses qui arrivent, c’est tout », dis-je d’un ton froid, sachant pertinemment qu’elle n’allait pas me croire. Elle me connaissait trop bien. Mais j’essayais d’éluder la question, me renfermant derrière mes remparts, me montrant à nouveau fermé. Si elle voulait en savoir plus, il n’y avait qu’un seul moyen : la torture. Et encore, je ne mentais pas vraiment. Je n’en savais strictement rien du pourquoi j’avais fini la soirée dans un tel état. Ou alors, je ne voulais tout simplement pas me l’avouer.
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Sam 27 Aoû - 11:35
« Personne ne t’a demandé de me ramasser à la petite cuillère, tu sais. Je crois que je suis assez grand pour me démerder. Et ce n’est certainement pas la première fois que je finis dans cet état ». Tu lui donnes une tape derrière sa tête, là, il faisait sa tête de mule et tu n'avais aucune envie de t'énerver, surtout qu'avec Asher, tu avais l'habitude, cette attitude te révoltait au plus haut point. « Parce que tu as de la chance Asher ! Attend quand ça va être ton assistante où quelqu'un de bien plus haut placer que toi qui te retrouve ou ta femme .. Là, tu comprendras que je ne suis pas la chieuse de service, mais une amie ! ». Tu lui grognes dessus, il le mérite surtout qu'étant dans cet état, il devrait la mettre en veilleuse et qu'il n'est pas un exemple à suivre. « Silence, femme ». Tu le regardes de haut en bas sans pour autant obéir, il parle à la mauvaise personne. « Il vient mon café ou il faut aller le chercher en Equateur ? ». C'est à cet instant que tu lui tends sa tasse en la faisant bien cogner sur la table sans le lâcher du regard. « Et baisse d'un ton, je ne suis pas à tes ordres moi ». Tu insistes bien sur le " moi ", il te prenait sans doute pour son assistante, hors tu n'étais pas prête à te taire, ni à obéir. Une fois installée face à lui, tu le détailles du regard, il fallait qu'il devienne plus ou moins sobre avant d'aller coucher. « Hum … je suis sûr que tu aurais préféré que je nettoie autre chose, avec ma langue ». Tu exploses de rire, et non Asher, tu n'es pas excitant là, loupé. « Ah ouais ? Et quoi donc ? Va-y, tu veux nettoyer autre chose ? Je t'écoute ». Tu bois une gorgée avant de croiser tes mains sur la table, il voulait jouer, tu allais jouer ! « Sinon, moi, j'ai une idée de ce que tu pourrais nettoyer avec ta langue ». Tu lui lances un clin d'œil, tu vas même à lui faire du pied, tu es prête à attaquer, le résultat va être glacial, tu jubiles d'avance. Puis vient la question du pourquoi du comment, oui, tu te poses la question, le fait qu'il soit comme ça, ce n'est pas normal. « Il n’y a aucune raison. Ce sont des choses qui arrivent, c’est tout ». Tu mets ton index sous ton oeil pour le tirer, comme pour dire " ouais ouais, mon œil ". Tu ne le crois pas, il mentait mal surtout à toi. « Arrête Asher, tu sais que je ne te jugerais pas, aller dit le moi ». Tu insistes, tu veux savoir, tu veux être là pour lui
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Sam 27 Aoû - 13:57
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Winter &Asher
« Parce que tu as de la chance, Asher ! Attend quand ça va être ton assistante ou quelqu’un de bien plus haut placé que toi qui te retrouve ou ta femme … Là, tu comprendras que je ne suis pas la chieuse de service, mais une amie ». J’haussais les épaules. Au fond, peu importait. C’était juste le fait qu’elle se plaigne d’être ici, de lui avoir gâché sa soirée. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. Me voilà repartit dans ma mauvaise humeur, qui, dans un certain sens, ne m’avait jamais quitté. « Et ? Je ne vois pas en quoi ça changerait si c’était mon assistante ou quelqu’un d’autre. Je crois que, aux dernières nouvelles, j’ai encore le droit de vivre ma vie et de faire ce que je veux, non ? » Je secouais la tête, levant les yeux au ciel. « Et si c’était ma femme, je m’en foutrais encore plus ». Je m’étais ensuite assis, attendant sur mon café, qui tardait à venir, et donc je l’avais bien fait comprendre à mon invitée, qui ne se laissa pas faire. J’émis un grognement comme toute réponse, n’aimant pas ne pas avoir le contrôle ni le dessus de la situation. Mais vu mon état, cela s’annonçait impossible. Surtout qu’au fond, je savais que Winter m’avait ramené pour une bonne raison à la maison, et que c’était une des seules qui arrivait à percer les barrières et à voir en-dessous de la surface. C’était d’ailleurs aussi une des seules femmes qui arrivait à me tenir tête. Et fallait qu’elle soit là, dans ma cuisine, à une heure tardive de la nuit, ou matinale, c’est selon, alors que je n’étais pas en possession de mes moyens. Je soupirais, n’osant pas vraiment la regarder, avant d’y arriver tout de même. J’haussais à nouveau les épaules. « Je ne sais pas moi … et tu sais très bien que j’ai trop de respect pour toi ». Enfin, c’est ce que je disais parce que, au fond, je savais que j’en serais capable. Il y avait juste quelque chose qui me retenait. Qui faisait toute la différence. Sans son accord, même tacite, je ne bougerais pas d’un pouce, par contre, si l’inverse se produisait, alors là … Je fis semblant de ne pas comprendre, de joueur au con, fronçant les sourcils. « Ha bon ? Quoi ? » je n’avais pas fini ma question que je la sentis me faire du pied. Décidément, ce n’était pas une soirée comme les autres. Je reculais mes jambes, les posant sous la chaise. Non pas que j’étais contre, mais, justement, je ne savais pas si j’étais en état de me maîtriser. Gentiment, le sujet principal vu mis sur la table. Le pourquoi du comment. Putain. A croire qu’on n’avait même plus le droit de se bourrer la gueule de temps en temps. Merde. Je croisais les bras, conscient qu’elle me détaillait certainement de la tête aux pieds, scrutant le moindre de mes mouvements. « Bon, tu veux tout savoir ? Ok, allons-y, tu l’auras voulu ». Je bus une gorgée de mon café, qui avait suffisamment refroidi pour qu’il soit buvable, avant de prendre une grande inspiration. « Il n’y a rien. Absolument rien», dis-je en articulant bien chaque mot. « C’est un crime maintenant de sortir boire un verre avec des collègues après le boulot ? Et oui, je te vois venir, tu m’as trouvé seul, mais ils venaient de partir. Alors arrête d’essayer de me tirer les vers du nez. Des cas comme le mien il y en a des milliers par soir, et pourtant, t’es là dans ma cuisine, à te comporter comme une psy ». Je repris ma tasse, bu une gorgée, avant de la reposer un peu trop brusquement. J’avais besoin de bouger. Je me levai, me postant contre un plan de travail, les bras toujours croisés. Je posais mon regard sur elle, noir. « Encore merci de m’avoir ramené et pour le café, mais tu peux désormais retourner à ta petite vie tranquille, dans ton apparemment ou t’as soirée ne sera pas gâchée. Je m’en sortirais tout seul ». Je ne voulais pas me montrer désagréable avec elle, et, dans mes souvenirs, je ne l’avais jamais été, mais là, c’était plus fort que moi. On avait beau le chasser, le naturel revenait toujours au galop.
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Sam 27 Aoû - 19:07
« Et ? Je ne vois pas en quoi ça changerait si c’était mon assistante ou quelqu’un d’autre. Je crois que, aux dernières nouvelles, j’ai encore le droit de vivre ma vie et de faire ce que je veux, non ? ». Tu tires tes cheveux de colère. « Et si c’était ma femme, je m’en foutrais encore plus ». Tu grognes à l'intérieur, il n'est pas croyable ! Si il veut jouer au con, c'est gagné surtout que tu n'est pas là pour le juger, hors il n'a pas l'air de vouloir comprendre que tu étais son amie, et bien des amis comme lui, tu t'en passerais bien. « Oui tu fais ce que tu veux, mais quand ta envie de te bourrer la gueule, bois chez toi .. Là où personne peut modifier ton image, pour un avocat, c'est mal vu .. Mais tu sais quoi Asher ? Continue de te foutre en l'air, c'est pas moi qui va crever en premier ». Tu n'as aucune pitié dans tes paroles, et encore tu es gentille. Il mérite une gifle monumental, mais tu n'es pas comme ça alors tu serres les poings, là tu n'aimais pas son comportement et il le savait bien. « Je ne sais pas moi … et tu sais très bien que j’ai trop de respect pour toi ». Tu ris doucement, oui toi aussi tu as bien trop de respect et tu n'est sûrement pas une briseuse de couple, oh non jamais tu ferais ça. « Détend toi Asher ». Tu empruntes une voix sensuelle, tu t'amuses de la situation et tu te lèves, prenant une démarche douce jusqu'à te mettre derrière lui. « Ha bon ? Quoi ? ». Tu fais glisser ta main sur son torse avant de poser doucement tes lèvres à deux doigts de toucher son oreille. « Sur la brosse à dents ». Tu lui donnes un furtif baiser sur sa joue avant d'exploser de rire, tu étais sûre d'y arriver si tu pouvais et tu en étais capable, seulement, tu ne te voyais pas faire l'amour avec Asher, c'était un homme marié. Tu reprends donc ta place avant d'ajouter. « Et une douche ». Tu ajoutes cette phrase en souriant avant de hausser les sourcils ! La question qu'il fuit, tu lui as posés et le moins que l'on puisse dire est qu'il était en colère. « Il n’y a rien. Absolument rien ». Alors que tu étais choquée par ces propos, il ajoutait. « C’est un crime maintenant de sortir boire un verre avec des collègues après le boulot ? Et oui, je te vois venir, tu m’as trouvé seul, mais ils venaient de partir. Alors arrête d’essayer de me tirer les vers du nez. Des cas comme le mien, il y en a des milliers par soir, et pourtant, t’es là dans ma cuisine, à te comporter comme une psy ». Là, c'est trop, tu te lèves et t'apprêtes à le gifler, pote ou pas, homme connu ou pas, tu n'as pas peur de faire face à lui, il avait certaines limites à ne pas franchir et là, il avait poussé mémé un peu trop dans les orties. « Encore merci de m’avoir ramené et pour le café, mais tu peux désormais retourner à ta petite vie tranquille, dans ton apparemment ou t’as soirée ne sera pas gâchée. Je m’en sortirais tout seul ». Tu attrapes une carafe sur le plan de travail avant de le remplir d'eau et de lui jeter à la gueule. « T'es calmé ? ». Tu ne voulais pas en arriver là, mais tu n'aimais pas sa façon d'être ce soir. « Je ne fais pas la psy comme tu dis Asher, oui, il y en a beaucoup des cas comme toi ce soir, sauf qu'à la différence, t'es mon ami ! Continue comme ça, tu vas te retrouver tout seul et quand tu vas en prendre conscience, je te tournerais le dos, alors tu veux jouer au mec dur et froid ? Pas de soucis, mais ça sera sans moi ». Tu souffles avant d'attraper tes sandwichs et ta veste et tu t'avances vers la porte. « Et de rien pour t'avoir ramené, et pour le café ». Tu as envie de partir, de le laisser se ramasser la gueule tout seul, mais ne t'y arrives pas alors tu te mets sur le côté, voir ce qu'il va faire.
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Dim 28 Aoû - 1:06
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Winter &Asher
La mauvaise humeur refaisait surface à vitesse grand V, sans que je n’y pouvais rien. J’avais bien conscience que je me comportais comme un connard de la dernière espèce, surtout avec elle, qui, finalement, ne m’avait rien fait de mal et contre qui je n’avais aucun grief. Depuis le tout début, dès que j’ai fait sa connaissance, le feeling était de suite passé entre nous, et, étonnamment, je m’étais ouvert à elle. Chose que je n’avais pas l’habitude. Je n’aimais pas montrer mes émotions, considérant que c’était une faiblesse. Et ce soir-là, elle s’était aussi confiée, en partie, à son tour. Alors non, je n’avais aucune raison de me comporter comme un parfait imbécile, mais c’était plus fort que moi. « Oui, tu fais ce que tu veux, mais quand t’as envie de te bourrer la gueule, bois chez toi. Là où personne ne peut modifier ton image, pour un avocat, c’est mal vu … Mais tu sais quoi Asher ? Continue de te foutre en l’air, ce n’est pas moi qui va crever en premier ». Je ne répondis rien, me contentant d’hausser les épaules. De toute façon, actuellement, ma vie partait à vau-l’eau, alors un faux pas de plus ou de moins. Et je n’étais certainement pas le seul avocat à avoir foiré, et encore, pour certain, ils ne faisaient pas que se bourrer la gueule une fois de temps en temps. Je n’arrivais pas à comprendre son raisonnement. Ok, elle avait raison, en partie, mais merde, on n’allait pas s’empêcher de vivre juste pour une réputation. Bon, j’avoue, j’y tenais comme à la prunelle de mes yeux, après toutes ces années à la façonner. Voir mon image voler en éclat … non merci. Et je savais très bien qu’au fond de moi, si j’avais été sobre, je penserais tout autre chose. Elle était très proche de la vérité. Je sens ensuite son pied glisser sur ma jambe, et tout mon corps se raidit, avant de les éloigner. Mieux valait éviter de jouer avec le feu. Surtout ce soir. « Détends-toi ». Sans rien dire de plus, elle se lève, avant de venir se poster derrière moi, posant sa main sur mon torse. Un courant électrique parcourt tout mon être, et je ferme les yeux, tout en serrant les poings, me répétant qu’il fallait que je me contienne. Ce n’était pas le moment. La tentation, toutefois, était de plus en plus forte. Depuis quelques mois, pour quelques raisons obscures, je n’avais plus touché à ma femme, et c’était une des raisons qui avaient fait que j’avais donné un coup de canif dans le contrat. La seule personne que je désirais réellement, plus que tout autre chose, qui était au-dessus de tout le monde, était juste inaccessible, par ma faute. Et puis bon, je ne voulais tout simplement pas me l’avouer. Pas encore. Quand elle frôla mon oreille avec ses lèvres, je crus devenir fou, et quand elle déposa un baiser sur ma joue, j’allais perdre toute retenue. Au dernier moment, j’avais même tourné légèrement tourné ma tête, entrouvrant les lèvres, mais elle avait été plus rapide que moi, et était déjà retournée s’asseoir. Je ne fis aucun commentaire à sa provocation. Je savais que quoique qu’il se passe, l’un ou l’autre allait le regretter dès le lendemain. Et comme elle le disait, j’étais un homme marié, même si, pour moi, cela ne voulait rien dire. Plus maintenant. Je débile d’un ton sarcastique des réponses. Les premières qui me viennent. Je vois bien sur son visage que ce n’était pas celles qu’elle attendait. D’un bond, elle se leva avant d’aller vers l’évier. J’entendis l’eau s’écouler du robinet, sans me poser de question, trop perdu dans mes ténèbres. La seconde qui suivit, je fus trempé de la tête aux pieds. A l’eau glacée. Je revins rapidement à moi-même, Et je décuvais d’un coup par la même occasion. Reprenant mes esprits, je posai mon regard, furieux, vers Winter, la menaçant. Je me levai, un doigt pointé vers elle. « Mais t’es complètement malade ma parole ». Le ton était sec, perçant, tandis que l’eau dégoulinait partout sur mon corps, et mon torse nu. Heureusement qu’on était en été, et qu’il faisait encore chaud, malgré l’heure. « Non, c’est encore pire ». Fulminant, je dus mettre une certaine distance entre nous deux, partagé entre cette foutue tentation, et la colère, qui s’était rajoutée par-dessus. Ainsi que la frustration. Au fond, c’était un réflexe naturel de ma part. Tout ce qu’elle venait de dire, m’avait considérablement blessé, même si je ne laissais rien paraître. Trop fier. Je la laissais partir, la regardant s’éloigner. Tout du long de ces dernières minutes, je n’avais presque pas ouvert la bouche. Je murmurais juste pour moi-même, ne sachant même pas si elle allait l’entendre ou pas. « De toute façon je suis déjà seul … ». Je baissais les yeux au sol. Honteux. Je pris une grande inspiration, avant d’aller la rejoindre, me postant devant elle. Lui bloquant presque le passage, alors que j’avais mes pantalons qui collaient à mes jambes. « Reste … s’il-te-plaît ». Je la suppliais presque du regard. C’était la seule qui pouvait me voir ainsi. C’était comme si je redevenais un petit enfant, en manque d’amour. Petit à petit, je m’approche d’elle, la collant vers la porte d’entrée, qu’elle n’avait toujours pas franchie. Je posais une main derrière sa tête, m’appuyant sur la porte, et j’approchais mon visage du sien, chuchotant. « Tu ne voulais pas prendre une douche ? » La seconde qui suivit, mes lèvres vinrent se poser sur les siennes. C’était trop dur. La tentation avait été plus forte. J'avais perdu et je savais que j’allais recevoir un deuxième seau d’eau sur la tête. Comme on dit, qui ne tente rien, n’a rien. Mais à l’instant présent, j’avais juste besoin d’une présence, de sentir le corps de quelqu’un contre le mien, et de faire sortir toute cette frustration que je retenais, enfoui en moi.
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> études/métiers : tu travailles en tant que flic. Le fait qu'on t'a fait du mal sert à vouloir pourrir les autres ordures qui sont dehors. Tu veux sauver les gens même si toi tu ne l'as pas été
> à savoir sur moi : tu fais le ménage trois fois par semaine +, tu as adopté un chien et un chat qui s'entende à merveille +, tu es allergique à la tomate, au basilic et au menteur +, tu adores cuisiner, tu pourrais y passer tes journées +, tu ne sors plus jamais sans ton arme de service, c'est devenu ta défense personnelle +, tu fais les courses que le soir, il y a moins de monde + avant que tu manges, tu jettes du sel au-dessus de ton épaule droite, il paraît que ça porte bonheur +, tu te lave toujours avant de descendre boire ton café, tu aimes être propre pour le petit-déjeuner +, tu fais sonner ton réveil vingt minutes avant, le temps d'émerger +, tu aimerais avoir des ailes alors ton film préféré est Peter Pan, lui au moins vole et ne grandit pas +, tu es accroc à ton cellulaire, il te quitterait pour rien au monde +, tu n'aimes pas les légumes, mais tu en manges quand même pour te forcer +, tu rêves d'être maman + tu fais craquer tout tes muscles avant de te coucher +, tu as des pantoufles licornes + tu prends toujours le même shampoing, depuis ton adolescence, tu n'as pas changé
Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Dim 28 Aoû - 1:37
« Mais t’es complètement malade ma parole ». Là, tu reconnaissais Asher, comme quoi il n'y a pas que le café qui fait effet. Tu ne regrettes absolument pas ce que tu viens de faire. « Non, c’est encore pire ». Tu exploses de rire, mais tu n'ajoutes rien, tu veux juste hurler menteur, car, tu sais qu'au fond de lui, ça lui a fait du bien de se prendre une carafe d'eau même si tout mouillée, ce n'était pas le top. « De toute façon je suis déjà seul … ». Tu posais ta main sur ton ventre, il se serrait. Non, il n'était pas seule, mais tu avais beau faire ce que tu voulais, il rejetait tout le monde quand il n'était pas bien et qu'on le poussait à bout, ce que tu as fait il n'y a pas si longtemps. Tu croises les bras en posant ta veste sur la rambarde de l'escalier et tu attends de voir ce qu'il va faire et à ta grande surprise, monsieur vient à ta rencontre. « Reste … s’il-te-plaît ». Tu regardais ton ami et tu ne savais pas trop quoi faire, quoi dire, il était redevenu l'homme calme de tout à l'heure puis il était à la limite de te supplier, tu dois avouer qu'il était mignon quand il faisait ça, ça pourrait faire craquer n'importe qui. « D'accord, je res .. ». Tu n'as pas le temps de finir ta phrase qu'Asher passe sa main derrière ta nuque pour poser ses lèvres sur les tiennes, d'abord réticentes, tu essayais de te débattre. Depuis tes dix-sept ans, aucun homme ne t'avait touché, aucun homme avait osé faire un truc spontané comme Asher venait de le faire. À cet instant, dans ta tête, tu revoyais la scène de ton agression, tu voyais ton agresseur te toucher alors tu n'étais pas bien et tu le repousses. « Tu ne voulais pas prendre une douche ? ». Tu t'appuies contre la rambarde et tu respires doucement. « Non Asher, je ne peux pas ». Tu frottes ton visage, tu es perdue et tu ne sais pas quoi dire puis ton regard se repose sur ses lèvres, tu hésites, mais après réflexion, tu te dis que le refaire pourrait décoincer le problème qu'il y a dans ta tête, tu dois avouer qu'Asher n'est pas mal, mais c'est ton ami. Dix, neuf. Tu te poses quarante mille questions, mais tu ne penses qu'à ce baiser. Huit, sept, tu t'avances doucement vers lui en souriant timidement et tu arrêtes de compter pour rattraper ses lèvres, et puis merde ! Tu veux réessayer et rien de tel qu'Asher, il était avant tout ton ami et tu n'avais rien à lui cacher. Il était au courant de tout, tu te laissais juste aller parce que tu en avais envie, tout simplement ! Tu te colles à lui sans te faire prier, tu retires son maillot qui n'a plus aucune utilité et tu l'emmènes avec toi vers un mur où tu fais claquer ton dos sans le lâcher. Tu passes de ses lèvres à son cou que tu mordilles en faisant glisser ta main dans son dos et de coller ton bassin au siens, de son cou, tu passes à son lobe de l'oreille avant de revenir sur ses lèvres que tu attrapes et tires sa lèvre inférieure vers toi. Doucement, tu fais glisser ta langue pour aller rejoindre la sienne et là, c'est un ballet sensuel qui se forme. Tu ne contrôles plus ton corps, tu ne contrôles plus rien, mais tout ce que tu sais, c'est que ça te fait du bien..
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Dim 28 Aoû - 2:44
Celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas
Winter &Asher
Qu’elle ait tenu bon quelques secondes, tenait déjà du miracle. Je le savais. Et je n’en attendais pas mieux de sa part. J’avais juste besoin d’un contact physique, quel qu’il soit, sans rien attendre de plus. Comme un simple baiser. Rien de plus. Je ne voulais pas l’obliger à faire quelque chose contre son gré, et je n’allais nullement insister. Rien que le fait d’y répondre m’avait amplement suffi, même si mon corps en réclamait davantage. Je profitais de cette interruption pour y glisser quelques mots à son oreille, chuchotant. Sans arrière-pensée. Elle avait émis le souhait d’aller se doucher, et, vu l’heure bien avancée, elle pouvait très bien la prendre chez moi, avant de rentrer chez elle. Pour ma part, j’avais bien assez à faire pour la laisser en toute tranquillité. « Non, Asher, je ne peux pas ». Mon regard dans le sien, j’hochais la tête. Je m’y attendais et je n’allais rien faire pour la retenir. « Je comprends, Winny » Ce surnom était sorti tout naturellement. Je reculais de quelque pas, pour ne pas l’étouffer, le laisser partir. Comme elle le désirait. « Bonne soir … » je n’avais pas pu continuer, ses lèvres venant rejoindre à nouveau les miennes. Je passe ma main sur sa nuque, pour la rapprocher encore plus de moi, alors qu’au même moment, elle se colle aussi à son tour. Des frissons parcoururent tout mon corps. J’avais l’impression de flotter, d’être ailleurs. Me disant que ce n’était qu’un rêve. Je la connaissais trop bien pour me dire que c’était réel. Je m’accrochais à ce baiser, comme si ma vie en dépendait. Pour ne pas lâcher prise. Je n’avais pas envie de me réveiller, en sueur, le corps brûlant de désir, dans mon lit, esseulé, ou ailleurs dans mon appartement. Mon maillot rejoint rapidement le sol de l’entrée, et je passe ma main sous son t-shirt, caressant du bout du doigt son dos. Avant qu’elle ne se déplace, cherchant un con plus confortable, toujours appuyée à un mur. Elle se met à mordiller dans mon cou, et un frisson de plaisir me transperce de tout part. Je me mordis la lèvre, fermant les yeux. Plus rien d’autre n’avaient d’importance en ce moment. Tous les problèmes furent relayés au sous-sol. Il n’y avait qu’elle, et moi. Je savais que dès demain, elle le regretterait, et certainement moi aussi, mais ça n’avait pas d’importance. Profité de l’instant présent. Chaque caresse, chaque baiser et chaque mordillement de sa part ébranlait les barrières que j’avais érigées de plus en plus. Et quand son bassin vint se coller au mien, je ne tins plus. Les bouches s’entrouvrent, et les langues se rejoignent, haletant. Je rompis le geste, d’une part, pour reprendre mon souffle, et d’autre part, pour la fixer dans les yeux, m’y noyant dedans, lui caressant la joue Je reculais juste de quelques centimètres, pour ne pas la mettre mal à l’aise. Mon pantalon commençait à me serrer. « Winter, écoute … », je me mordis la lèvre, luttant conte moi-même, pendant qu’un de mes doigts caressait ses lèvres, encore mouillées de notre baiser. « … je ne sais pas si c’est vraiment une bonne chose. Par contre, je suis sûr que ce n’est pas le bon endroit. Pas ici ». Je connaissais ce qu’elle avait vécu, à ses dix-sept ans C’était une des raisons pour lesquelles je ne voulais pas la brusquer, ni la forcer. Je savais qu’un viol était une expérience douloureuse, qui collait à tout jamais à la peau des victimes. Délicatement, je lui pris la main, la guidant à travers mon appartement, avant de monter au deuxième étage, ou, sans un mot, je la dirigeais vers ma chambre. Notre chambre. J’ouvris la porte, et, doucement, je l’emmenais vers le lit, l’aidant à s’assoir, avant de la rejoindre, à ses côtés. Mes lèvres vinrent se reposer sur les siennes, passionnément, une main dans le bas de son dos. Ensuite, une lueur hésitante dans le regard, je la fixais, chuchotant, pour ne pas rompre ce moment. « Tu es sûre ? C’est ce que tu veux ? »
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Dim 28 Aoû - 12:23
Tu ne réfléchissais pas, de toute façon, tu savais très bien ce que tu faisais et pour l'instant, tu ne regrettais rien, tu savais que tu allais t'en vouloir après. Il ne te repoussait pas, non, il t'accompagnait dans ce que tu entreprenais, tu oubliais presque tout et quand il se recula pour prendre son souffle, tu hésitais encore. « Winter, écoute … ». Tu réalises qu'il va te ramener à la réalité, tu t'y attends et tu comprendrais parfaitement qu'il ne veuille pas. « … je ne sais pas si c’est vraiment une bonne chose. Par contre, je suis sûr que ce n’est pas le bon endroit. Pas ici ». Tu baisses la tête, il avait peut-être raison finalement, en fait, il avait raison. Tu le suis tel une marionnette jusqu'en haut, ton coeur s'accélère, tu n'es plus habituée à ce genre de chose, le sexe pour toi est devenue quelque chose de nouveau. « Tu es sûre ? C’est ce que tu veux ? ». Tu le regardes et tu respires, tu prends une grande inspiration. « Oui, c'est peut-être la seule solution et je ne veux pas le refaire avec quelqu'un que je ne connais pas ». Tu inspires, Asher était ton ami, tu lui faisais confiance et si ça doit débloquer le problème, pourquoi pas. Tu reprends possession de ses lèvres et tu te laisses aller, après ça, tu n'auras plus aucun secret pour ton ami, c'est peut-être une bonne chose finalement. Tu l'enlaces avant de toucher son torse de ta main et de l'allonger pour le chevaucher et de retirer une bonne fois pour tout ton haut laissant entrevoir ta poitrine, ta main derrière sa nuque, tu l'embrasses doucement dans le cou. Tu te crois dans un rêve, tu n'avais jamais fait ça avec un ami, marié qui plus est. Sincèrement, à cet instant, tu n'en avais rien à foutre, ta dose d'adrénaline faisait sûrement effet alors tranquillement, tu retirais son pantalon tout en attrapant sa langue avec tes dents pour la tirer vers toi sans trop lui faire mal, inconsciemment, tu espères juste que ça débloque le tout, mais tu dois avouer qu'Asher aurait pu être un très bon amant, tu ne ressens pas la moindre pudeur bizarrement, ce qui est étonnant venant de toi, toi qui n'aimes pas montrer son corps, mais c'est un ami alors tu n'as pas à te cacher, tu profites de l'instant sans te soucier des problèmes, tu t'accroches à lui pour ne pas qui s'envole, pour ne pas te réveiller, tu sais que c'est réel, tu continues de l'embrasser en faisant glisser ta poitrine sur son torse.
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Lun 29 Aoû - 14:06
Celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas
Winter &Asher
Je n’avais plus aucune notion du temps, ni de l’espace. A dire vrai, je ne savais même pas si je voulais être là, ou être totalement ailleurs. J’étais dans l’incapacité de réfléchir, mon corps n’en faisant qu’à sa tête. Je savais que c’était mal. Que je ne devrais pas. Mais c’était plus fort que moi. Et douloureux. Je n’arrivais presque plus à respirer, tandis que mes pensées étaient loin d’ici. Dans un autre lieu. Je l’avais entraîné jusqu’à dans la chambre, ne voulant pas la brusquer, lui demandant si elle était bien sûre. Sans me poser la question à moi-même. Oui, je le voulais. Tout simplement, pas comme ça, pas avec elle. « Oui, c’est peut-être la seule solution et je ne veux pas le refaire avec quelqu’un que je ne connais pas ». En deux secondes, elle était sur moi. Nos langues continuent leur danse, tandis que nos doigts explorent le corps de l’autre. Tout autant charmante qu’elle peut l’être, ce n’est pas elle que je vois, que j’imagine, les yeux fermés. Ni ma femme. Mais une autre. Je m’empêche de les ouvrir, ne voulant pas revenir dans la réalité. Tout déconnait ce soir. Je ne devais plus être totalement moi-même. L’alcool avait fait disjoncter mon cerveau. Je n’avais plus aucun contrôle. La réalité était bien loin de tout, comme si je flottais sur un nuage. J’ouvris les yeux, et voyant le visage de la jeune femme à quelques centimètres du mien, tout devint noir. Brutalement. Je ne pouvais pas. C’était comme une évidence. Je me relevai, me tenant de mes bras, et, le plus doux que je pouvais, je fis basculer Winter sur le côté. Je m’assis au bord du lit, ramassant et enfilant à la hâte le pantalon qu’elle venait de m’enlever il y a quelques secondes auparavant, et j’enfouis mon visage entre mes mains. J’avais bien conscience que les choses allaient se corser. Qu’elle n’allait pas du tout apprécier mon revirement de situation. Pas après ce qu’elle avait connu ni ce qu’il venait de se passer. Cette histoire avait été trop loin. Tâtonnant sur le lit, je pris son t-shirt, que je lui donnais, sans la regarder. « Habille-toi ». Ma voix était encore pâteuse, mélange d’alcool et d’excitation. Je soupirais, me relevant. Je me postais devant la jeune femme, regardant un point fixe derrière elle. « Je ne peux pas. J'en suis incapable ». Je me retournais, le regard éteint, me dirigeant vers la porte de la chambre. Au dernier moment, avant de la franchir, je me retournais. « Il serait préférable que tu partes », avant de rajouter, dans un murmure « Encore merci, et … désolé ». Sur ces mots, je la quittais du regard, et je m’enfermais dans la pièce atténuante, la salle de bain, en faisant claquer la porte trop brusquement. Une bonne douche froide me ferait le plus grand bien. J'avais besoin de retrouver des idées claires.
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désolée, la réponse a pris une tout autre tournure
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas Mer 31 Aoû - 12:33
Tu paniquais, mais la dose d'adrénaline que tu venais d'avoir te poussais à aller jusqu'au bout, tu te demandais ce que serait votre relation après, tu avais peur de perdre l'entente que tu as avec Asher, ça pourrait casser quelque chose et rien que cette idée te perturbait. Tandis que vous attaquez les préliminaires, tu sens ton coeur qui s'accélère et tu essaies de respirer normalement, car à cette allure, ton coeur va s'arracher de ta cage thoracique, tu n'avais jamais été dans cet état, serait-ce vraiment une bonne idée ? Des tas de questions se trottaient dans ta tête, mais tu n'essayais de ne pas y penser, jusqu'à ce moment où alors que tu l'embrassais de plus bel, il te bousculait pour te mettre sur le côté. « Habille-toi ». Son ton était sec, froid et là, tu savais que cela avait cassé quelque chose, ça te rendait malade, mais tu obéissais, pour la première fois, tu lui obéissais en te rhabillant. « Je ne peux pas. J'en suis incapable ». Tu souffles, mais bizarrement, tu comprends parfaitement alors tu le regardes. « Tu as raison Asher .. Je suis désolée ». Tu lâches cela en tremblant, tu te sentais conne pour le coup, comment tu avais pu en arriver là ? Tu ne regrettais absolument pas, pendant une fraction de seconde, tu savais que tu pouvais encore plaire, grâce à Asher donc c'est un mal pour un bien au final. « Il serait préférable que tu partes ». Tu hoches de la tête. « Encore merci, et … désolé ». Tu lui lâches un sourire, mais il avait déjà disparu dans l'autre pièce alors tu prends tes chaussures et tu descends et rentre chez toi.
Made by Neon Demon
SCÈNE CLOSE.
spoiler:
c'était parfait, dramatique itout, j'adore
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Sujet: Re: ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas
ashter, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas